Dernières journées des dernières ventes privées, la fin d'une époque, une quinzaine d'année à se fringuer à moitié prix, ça va se sentir dans le portefeuille. Pour marquer le coup, cette dernière journée était animée avec des petits fours, du champagne et des filles qui dansent nues dans des cages.
Bon, c'est pas trop mal, un peu long et beaucoup trop mélo quand même. Visuellement il y a des choses intéressantes et c'est bien la première fois que les effets de contraction temporelle du temps par la gravité décrits par la relativité générale sont montrés d'une manière réaliste dans un divertissement grand public. Je trouve quand même que c'est de la science-fiction de papa, avec le thème de l'héroïsme des astronautes à la façon des pionners de l’aéronautique, l'idée de la colonisation de l'espace par l'humanité en envoyant 5 personnes dans le vide total et vers l'inconnu avec une gourde et des provisions pour une semaine ; on dirait un scénario écrit dans les années 50.
À porte Maillot, avec Némo, ses vieux collègues et les auditrices de la SG folles de mon corps, j'ai heureusement réussi à me débarrasser de ces dernières.
