Vu : un temps X

Au Monoprix, c'est le deuxième fois que je vois un Bogdanoff dans mon quartier, il doit y avoir un nid quelque part.

Week-end chez Nancy

avec ce gros cochon de Stan.

Vu : Julie B.

Sur le quai du métro Passy

Tel père, tel fils

Après Nicolas Bedos, c'est le père, Guy Bedos, que je vois aujourd'hui, à la terrasse d'un café en bas de la rue du Commerce.
Dans la famille des suppôts du socialo-islamo-communiste, j'ai également croisé Robert Hue rue de Vaugirard une heure avant.

Je suis nageur

Aujourd'hui beaucoup de personnes ont décidé d'aller marcher, de mon côté je me remets à la nage. Je ne sais pas encore si je saurai retrouver la discipline d'y aller chaque dimanche.

Lu : Comment les démocraties finissent

Sans doute le dernier Revel que je n'avais pas encore lu. Toujours aussi pertinent, avec le sens de la formule. À le lire, on prend conscience de l'inertie des Occidentaux face à l'Union soviétique, pour ne pas dire la lâcheté et la soumission préventive, et on prend peur de ce qui aurait pu arriver si les choses avaient été à peine différentes et plus favorables à cet Empire du mal.
Quelques citations que j'ai la flemme de recopier :

 Heureusement l'avenir lui donna tort, mais écrivant en 1983, il était surement difficile à l'époque d'avoir une idée parfaitement exacte de l'état de l'Urss et de mesurer les résultats de certaines actions  prises aux débuts des années 80 par un Ouest qui décidait tout juste de réagir et encore partiellement.

Démarrage en fanfare

Pour démarrer cette année à fond, en vivant chaque jour comme si c'était le dernier, je me rends à l'exposition Émile Bernard. Personnage intéressant et relativement peu connu, il s'est fait piquer son style par Gauguin avant de retourner vers un art plus classique inspiré par la renaissance italienne.