Spécial dédicace

Un repas qui aurait été interminable sans un album dédicacé d'une grande artiste de notre temps. La postface semble témoigner d'un profond traumatisme de jeunesse de l'auteuse dû à un entourage familiale malsain. On attend impatiemment qu'un album en soit tiré.

Je rajoute que malgré leur idéologie d'écolo-marxiste, je me trouve des affinités avec un des personnages qui décide de vivre loin du monde et des emmerdes pour regarder les saisons passer et jouer de la musique.

Culture au quai

Un incontournable de septembre, un des derniers à survivre en cette année. Je me demande si ça n'est pas une contrepèterie en fait ?

Concert

La Messe en Ut, à Saint-Louis des Invalides. Un retour 17 ans après mon dernier concert dans ce lieu. J'avais pourtant l'impression que c'était il n'y pas si longtemps que cela, en fait, cela fait une vie entière.
En tout cas, pas de quoi être grossier.

Prodigieusement nul

Un biopic sur Bobby Fisher, sans grand intérêt, le film se concentrant sur la personnalité irrationnelle et paranoïaque du champion, cela tourne rapidement en rond et on y évite même de parler de la seule chose intéressante qui aurait été la qualité de ses parties.

2e journée du patrimoine

Au palais de Chaillot. J'adore ces architectures Arts-Déco, cela fait style nazi façon Albert Speer. Je connaissais le Grand Foyer de vue, mais j'ignorais l'existence de salles de spectacle à cet endroit. La visite est d'autant plus intéressante que de nombreuses hôtesses, jeunes étudiantes bonasses en architecture, agrémentent les couloirs du lieu.

1re Journée du patrimoine

À l’Hôtel de Beauvais,

puis aux Archives nationales, dont l'ensemble architectural comprend l'Hôtel de Soubise.

La journée finit sur une promenade amicale dans les jardins du Luxembourg.

Revoyure

Soirée à la maison avec deux vieux camarades à l'occasion de la montée à Paris de l'un pour son nouveau boulot. J'en ai profité pour prendre leur tessiture de voix en vue d'arranger le pimpon pour que la prochaine fois nous le chantions en trio.

Fashion indian restaurant

Cette année la fashion n'est pas organisée, un marronnier de septembre qui tombe à l'eau ! Je vois néanmoins ma copine de lettono-russe, compagne de fashion night dans un restaurant  indien en remplacement. Rien ne vaut les restaurants indiens de Paris, on peut y manger de la viande et on n'emporte pas chez soi la tourista, pas comme les restaurants indiens d'Inde où mon ami Némo doit certainement y laisser ses boyaux. Au cours de notre discussion, mon amie me dit qu'il est très sain de tenir un blog car cela permet de pratiquer un exercice intellectuel de rédaction qui fait travailler sa capacité à exprimer clairement et à mettre en forme ses pensées. Elle a bien raison, tout le monde devrait suivre ce conseil.
En fin de repas, mon amie fait venir une copine à elle avec qui elle essaie de me caser, malheureusement elle, contrairement à notre repas, elle n'est pas comestible !

Nouveau matin

Visiblement en concert à la Saint Tanguy de cette année. Je pense que j'irai...

Rentrée des classes

Bon, jusque-là tout va bien...

Lu : Le journal d'un ingénu

À la bibliothèque "Le journal d'un ingénu". Je n'ai jamais été un lecteur de Spirou, mais cet album est sympa.

Pot et pôte

Pot de retrouvaille, avec une vieux pote que je n'avais pas vu depuis des années. Curieusement, si je le revois c'est qu'il démarre également un nouveau travail cette semaine, comme moi la semaine prochaine. J'appréhende de partager également avec lui bientôt le même sentiment d'imposture, mais ça me rassure de voir quelqu'un presque plus paumé que moi.
On se retrouve au bar Demory, et alors que je m'y sens très à mon aise, il semble gêné que nous soyons les plus âgés du lieu, c'est étrange mais c'est un sentiment que je n'éprouve presque jamais, lequel des deux est le plus aveugle ?

It's Over Now

Dernier jour chez mon employeur historique, PC rendu, au revoir et merci. Putain, j'espère que je ne fais pas une connerie.
(Purée cette chanson est terrible)

Promenade

À partir de la place de la Bastille, en passant par la Cour Damoye.

Yoom Dim Sum

Resto de vapeurs chinois, encore une bonne idée de ma part.

Lu : La crise de la conscience européenne

Je finis enfin ce livre entamé il y à déjà plusieurs mois. Intéressant par la description qu'il fait de la vie intellectuelle en Europe entre 1680 et 1715, mais un peu décevant car finalement on ne comprend pas très bien derrière la masse d'éléments qu'il donne ce qui a fait qu'une telle effervescence intellectuelle a pu naitre et se développer en Europe. Pourrait-on faire dans une autre civilisation un tel catalogue de tant de penseurs et de doctrines si diverses concentrés en un temps si court ? Y avait-il en Chine, en Inde, en Perse ou ailleurs une vie intellectuelle qui pût se comparer à celle qu'il décrit ici  ? et si non pourquoi cela s'est-il produit en Europe et non ailleurs ? Ces questions ne sont pas abordées, c'est bien dommage.

Lu : réveurs lunaires

Lu à la Fnac. Je suis tenté de contacter Villani pour lui parler de la série des années 80 "la course à la bombe" pour le démentir sur le fait qu'aucune œuvre de fiction ne met en scène à sa juste mesure Leo Szilard. J'avais commandé il y a peu de temps à un type trouvé sur un forum Internet une copie DVD de son enregistrement VHS de la série. Tiens, je n'en ai pas parlé ici, c'est con, maintenant je ne saurais plus dire quand j'ai pu la voir ! En mars ou avril de cette année peut-être ? [c'est réparé]

Lectures normales

Matinée à la bibliothèque... de l’École Normale Supérieure de Paris, donc de France, donc du monde. Maintenant que je me suis rendu compte que je pouvais y accéder, contrairement à ce que je pensais jusque-là, cela me simplifie considérablement l'accès à certains livres spécialisés, plus besoin de faire ma valise pour aller à mon ancien campus. C'est un peu con maintenant que les socialos-communistes-écolofascites ont mis en œuvre la tarification unique jusqu'à la zone 5, tant pis.

L'endroit est tout neuf et dans un style ressemblant à la bibliothèque François Mitterrand, alors que je fantasmais plutôt sur une vieille bibliothèque avec rayonnages en bois, escaliers en colimaçon, fresque pompier aux murs, mobiliers polis par des générations d'étudiant et habitée par le souvenir de prix Nobel ou de médaillés Fields ; la confrontation avec un site de la grande histoire de la science ne se produira pas.

Ce qui est marrant, c'est que j'y retrouve la même exposition sur Laurent Schwartz que sur le plateau, elle aussi itinérante.

Môm

Petit  pôt avec le Némo, au Môm. 5/10 parce qu'ils ne savent pas y servir de bières fraîches.