Acheté

Le plus grand jour de l'année 2012 sera le dernier : j'ai acheté un appareil à raclette. Le gros pape de 2012 et d'avant était tributaire des invitations, soirées organisées par d'autres, des hasards des rencontres pour avoir droit à de la raclette. Le gros pape 2013, pourra faire autant de soirées patate-jambon-fromage qu'il le souhaite et à volonté. Cela me donne ma résolution 2013 : manger de la raclette ! Et également celle de 2014 : perdre les kilos pris à manger de la raclette pendant tout 2013.

Vu

Pas terrible, contrairement à toutes les critiques que j'avais entendues. C'est toujours le problème avec les films tirés de faits réels, les intrigues sont en général assez faibles alors on y rajoute des scènes de poursuite invraisemblables ou de faux suspens complétement artificiels pour essayer de faire cinéma.

Acte 40

Puisque je suis plus près de 60 que de 18 maintenant, sortie avec Némo. J'ai reçu en cadeau la promesse d'un cadeau comme on en reçoit qu'un dans sa vie.

Dans le cul

Ma première soirée beaujolais nouveau de ma vie, avec un gros rouge qui tache : Némo. Dans un bar à vin, parce que c'est original et que là, "le commerce on l'a dans le cul".
Après, je me montre généreux en offrant verre sur verre au W.
(J'aurais du écrire ça le jour même, je me rends compte qu'un blog ça peut aussi servir à faire ces comptes en traçant les dépenses)

Un peu parti un peu naze

J'descends dans la boîte de Jazz. Au méridien de la porte Maillot. Pour écouter une chanteuse à grosses fesses.
Pour compléter la discussion de haute-volée de ce soir là : http://gsorman.typepad.com/guy_sorman/2012/11/le-rapport-inutile-dun-certain-gallois.html 

TAGADA BAR

 

Bon rien de spécial à en dire, c'est moyen c'est un bar conseillé par l'autre. Heureusement j'ai sauvé la soirée, en nous amenant dans un petit coin, connu des habitués du quartier seulement, où le patron sert des assiettes de charcuterie et de fromage et du bon vin.

With the Beatles

Journée Beatles sur Arte, je préviens tous mes amis.

Lendemain difficile

Je ne sais plus ce qu'y s'est passé la soirée dernière, mais le réveil est dur ce matin, la tête lourde, le ventre douloureux. Le petit vomi à deux heures du mat', n'aura pas été entièrement réparateur.

Comme dans une fiction américaine

 

Soirée au Zelda, avec un Némo déjà chaud bouillant et passablement éméché à son arrivée, il a déjà bu avec ses collègues moustachus avant même de partir du boulot. Au début tout était calme, mais après beaucoup de choses à dire, beaucoup de densité, d'histoires à raconter, et cette fois je m'y mets autant que je peux m'en souvenir. 

Ça a commencé avec une charmante petite jeune femme brune qui venait reprendre un verre au bar, qui s'est avérée être une étudiante Brésilienne qui avait abandonné ses études d'ingénieur au pays pour venir tenter sa chance en France, qui a découvert le bar en étant habituée du resto végétarien chinois à coté. Malgré ma tentative de la recruter dans ma boite, elle préfère garder son boulot dans un magasin de vêtement à République ou dans un Monoprix, on ne saura jamais. Après deux filles s'assoient à coté de moi, parlant anglais et commandant du vin dans un bar à cocktail, les nulles, l'une est Suisse, blonde un peu en chair, et l'autre Américaine brune bien jolie, les deux étudiantes en français à la Sorbonne, je ne sais plus se qu'on s'est raconté. Némo de plus en plus éméché a dû les faire fuir, j'imagine, les coincées. Après, nous faisons connaissance avec Bruno, jeune barman d'un bar à Saint Germain, nous parlons de la conciergerie et de l'expérimental cocktail, il nous reconnait aussitôt comme d'authentiques amateurs éclairés. Il nous raconte qu'il cherche à reprendre son propre bar où le barman saurait faire le parfait cocktail, au parfait moment, pour de parfaits amateurs comme nous. Il nous invite lorsque nous irons à son bar à le demander en lui rappelant que nous l'avons rencontré au Zelda. Il nous dit que les jeudis sont consacrées aux années 80, ce qui enchante Némo qui adore Michel Sardou. Je note le nom de l'endroit que j'envoie par sms à Némo, j'ai bien fait parce que j'ai oublié le nom de son bar. Pendant ce temps Némo, commence à discuter avec des garçons à coté de lui. Après une fille qu'on avait remarqué un peu avant passe à mes cotés, "Nice Hat" l'interpellais-je, la discussion s'engage immédiatement, c'est une étudiante en français à la Sorbonne également, Suédoise, assez bandante quand on a 3 verres dans le nez, parlant déjà assez bien français. Nous parlons de Stockholm, New-york où elle vécut dans le Village et de je ne sais plus quoi. Elle finit par être happée par deux amies à elles Suédoises également, une avec une décolleté de petite pute et une brune plus fermée. J'essaie de discuter avec l'une et l'autre, avec moins de résultat que leur amie, elles finissent pas s'échapper toutes, les salopes. Je me retourne vers Némo qui est dans une discussion animée avec deux jeunes gens, une fille et un garçon, collègues de travail à l'Ifop qui s'y sont connus et y ont sympathisé après avoir découvert qu'ils étaient Vendéens de la même ville, La-Roche-sur-Yon, de toute façon, je crois qu'il n'y a qu'une seule ville en Vendée. Ils sont nés l'année où Némo et moi avons fait connaissance, pourtant je ne me sens pas tellement plus vieux qu'eux, j'imagine qu'eux nous voient comme un trentenaire et un quadragénaire déjà d'une autre génération. On parle un peu de tout, de latin, parce que la fille l'a étudié, de la chanson de Brel, puis de politique. Ces jeunes gens sont de droite malgré leur air de jeunes qui sortent la nuit dans les endroits branchés, l'éducation nationale n'a donc pas réussi à formater les esprits selon le prêt-à-penser rabâché à l'envi. En discutant en aparté, avec le garçon, il n'est néanmoins pas opposé au mariage gay, comme quoi, ces gens ne sont pas trop des caricatures. Le garçon annonce vouloir partir, peut-être l'occasion de serrer de plus près sa charmante copine ; malheureusement, elle le suit, je tenterai de la peloter quand elle passera dans l'étroit passage vers la sortie, à voir sa démarche chaloupée, ça sera du gâteau. En fait, je ne me rappelle plus pourquoi, mais je ne crois pas y être arrivé. Après avoir dit au revoir à Julien et Cindy nos derniers amis de la soirée, il ne reste plus à Némo et moi qu'à trouver un taxi pour éviter de rentrer trop tard. Il n'est pas dit qu'on se souviendra de tout le lendemain.

Cours de piano

Mon premier cours de piano depuis 14 ans. Finalement, mon professeur sera un jeune homme qui semble assez sympa et compétent. Mon espoir de tomber sur une jeune femme slave à accent que je séduirais pour en faire mon esclave sexuelle tombe à l'eau. Il ne reste plus qu'à me concentrer sur la musique.

Spectaculaire

mais pas tant que ça.

À la médiathèque

Ayant aperçu la médiathèque vendredi soir de la semaine dernière en allant au concert, je décide d'y passer mon samedi. J'y aperçois des visages connus mais anonymes. Après la fermeture, je me promène dans le quartier. Les visages restent anonymes.

Ne pas voir

c'est nul

Homeland

ça a l'air bien. Évidemment, dans le 1er épisode, l’héroïne pour se changer les idées, se rend dans un bar, y socialise avec des inconnus, y trouve un partenaire sexuel, et y résous son problème grâce à une illumination soudaine et inattendue, le genre de chose qui arrive toujours dans un bar bien sûr.

Dans la truffe ça craint rien

Opération "votre invité est notre invité" dans un restaurant dont la spécialité est de mettre plein de petites truffes dans ses recettes, tout ça en compagnie d'une grosse truffe.
Après, pot au Pershing Hall, trop de choses à raconter, trop dense, trop d'histoires, une prochaine fois je raconterai peut-être

A star is seen

Deuxième journée des Journées du patrimoine, programme du jour : bibliothèque Sainte Geneviève, Val-de-Grâce où j’atterris par pur hasard et l'Observatoire de Paris.

Durant ma pause déjeuner, dans une brasserie à Port-Royal, je crois apercevoir François Cluzet, l'éternel interprète des Apprentis. Comme il partit vite, je ne fus pas sûr de moi, mais la serveuse confirma. One Point!

A star is born

Première journée des Journées du patrimoine, l'évènement le plus attendu de l'année. Passage par la Cour des comptes, l’Hôtel de la marine et le ministère de la justice. Je me suis fait interviewé par le service de presse du ministère, je dois avoir une tête à passer à la télé, et comme d'après l'intervieweuse, j'ai « été parfait », je dois avoir aussi le talent pour ce genre d’exercice. Ça doit faire la 3e fois que je me fais alpaguer pour donner mon avis devant une caméra, je vais bientôt me proposer pour être chroniqueur chez Ruquier, il n'y a pas de raison que je continue à le donner gratuitement. Je me suis fait aussi de nouveaux amis, Didier Migaud Premier président de la Cour des comptes et Christiane Taubira, Gardes des sceaux.
Toutes les photos prises, me donne l'occasion de pratiquer Photoshop que j'ai acheté il y a peu (lien sur demande)

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Birthday

À la flèche d'or, hommage à Macca pour ses 70 ans. Le site du club est une gare désaffectée posée au dessus de la petite ceinture. Trois groupes jouèrent successivement des chansons de l'ancien Beatles, tirées de l'ensemble de sa carrière. Je fus ravi l'un d'eux reprît golden earth girl, que je ne suis finalement pas le seul à apprécier particulièrement. Autre bonne surprise, Monkberry Moon Delight, joué dans une version très énergique, troisième chanson issue de l'album Ram - que je conseille à tous mes amis - entendue ce soir-là.

Une curieuse jeune femme était là, bottes blanches, collants écossais rouge, jupe écossaise rouge, chemisier blanc, cheveux longs et frange. Elle n'a pas osé venir me parler, la salope.

Joué ce soir là :
- Too Many People
- Ram On
- Young Boy (je crois)
- Golden Earth Girl
- All my Loving
- Monkberry Moon Delight
- Hope of Deliverance
- Maybe I'm Amazed

Marronier

 

Évènement incontournable du mois de septembre. En fait, je m'y suis retrouvé par hasard, pensant que c'était la semaine prochaine.

Vu

Passable. La meilleure scène : quand la copine bombasse du frère a le téton à moitié à l'air.

Promenons-nous dans les bois

Pas le temps, plein d'horaire, le boulot c'est pas super. Mon nouveau poste de manager me vaut une réunion matinale, dans les bois. Se lever une heure plus tôt, pour un petit-dèj quasi inexistant, ça ne vaut pas le coup.

Fashion Night

Suite à un message inattendu d'une amie, je me retrouve embarqué à la Fashion Night. Cet évènement inconnu de moi jusqu'à présent a de bonnes chances de devenir une importante sortie incontournable des mois de septembre, classée juste après les journées du patrimoine, mais juste avant la journée des associations du XV". Des filles à l'allure mannequin plein les trottoirs et du champagne offert dans tous les magasins. Seuls les imbéciles resteraient chez eux !

Plan à trois

Avec Nemo et Bambi, sortie improvisée à la Conserverie.

Reçu

Le joli lac de Longemer dans les Vosges

 

et la très jolie carte ornée d'un très joli dessin d'une future grande artiste, comme sa tata. Quel autre artiste s'inspirant de cette œuvre chantera « Jésus sur le calvaire avec les sti-i-igmates...» ?

Ciné du vendredi

Que feriez vous si la fin du monde était dans quelques jours ?

Où est Charlie ?

Au hasard de recherches internet, je tombe sur cette photo de classe des années 70. Je crois que je vais regretter ce post.

Déjà-vu

Ce film m'en rappelle étrangement un autre. Les filles y sont carrément bonnes !

Fin de série

Je viens de finir de regarder la 8e et probablement finale saison d'Entourage. Ça va me manquer. En attendant peut-être un film... En tout cas, je conseille à tous mes amis cette série.

Perdu en traduction

Pour fuir la canicule, je me rends au bar de l’hôtel Novotel en front de Seine. L'ambiance fortement climatisée me permet d'oublier la chaleur deux petites heures. Mais quelle sale habitude d'aller boire des cocktails dans les bars d’hôtel quand même !, en plus rien ne se passe jamais comme dans les comédies sentimentales américaines où les bars sont toujours des lieux de rencontres, de socialisation facile. La lecture du Monde me tient compagnie, on ne peut que constater la mauvaise qualité de ce journal et sa réputation usurpée.

Un été à Revel

Le journal de l'année 2000 vue par Jean-François Revel. De quoi nous ramener au joyeux temps de la cohabitation Chirac-Jospin (que j'ai vus en vrai les deux), des émeutes de banlieue, de la mise en place de l'Euro qui va nous éviter les crises économiques et financières, des grèves qui arrêtent les réformes mêmes timorées, entre autres choses. Pas de surprise, sauf l’instance avec laquelle Revel fait le portrait d'un Mitterrand sans aucune conviction sincère et entouré de proches uniquement préoccupés d'utiliser les rouages de l’État pour s'enrichir en détournant l'argent public avec la bienveillance de leur ami président, Mitterrand et les 40 voleurs ne serait donc pas qu'une expression polémique mais une réalité.

Voila qui achève mes lectures revéliennes de l'été.

Week end j'oublie tout

Déjà en week-end après deux jours de reprise du boulot. Reprendre le travail un jeudi me parait laisser assez de temps pour se remettre dans le bain tout en faisant que la semaine soit assez courte pour que cela ne soit pas trop brutal et déprimant. À reproduire.

Reprise des bonnes vieilles habitudes, après le boulot, vendredi c'est cinéma.

C'est la première fois que j'allais au cinéma de la rue d'Odessa, les sièges y sont larges et avancent pour permettre quasiment de s'allonger comme dans un 1re classe de TGV.

Revue de blogs

Il semble que la période estivale soit le moment qu'ont choisi un certain nombre de personnes désœuvrées pour entamer ou reprendre un blog. Savent-ils qu'un blog n'est pas une distraction anodine qu'on peut exercer en dilettante mais un sacerdoce qui exige sang et sueur au quotidien sans espoir de reconnaissance ?
Tempus videbit

Rentrée des classes

 

Après-midi studieuse à la BPI, mais demain, rentrée des classes, je vais tenter d'éviter la phobie scolaire en ne pensant pas trop à tout ce que je vais retrouver là-bas.

J'ai finalement acheté le magazine qui propose un disque de reprise de Yellow Submarine

Ordre nouveau

Journée pourrite, chaude et humide à la fois, passée à la maison à faire la sieste. Néanmoins cette journée sera une journée marquante, celle où j'aurai acheté chez Habitat des rangements en plastique pour mon bureau. Fini les papiers, lettres et reçus de cartes bancaires qui trainent en vrac sur mon bureau pendant des mois, prenant la poussière, attendant d'être traités. Maintenant, ils traineront en vrac pendant des mois, prenant la poussière, attendant d'être traités dans un rangement en plastique.

Subjuguant subjonctif

On dit je suis sûr qu'il est là mais je suis heureux qu'il soit là. Il me parait difficile de trouver une règle justifiant cela.

Rami

Sortie OVS, parties de rami aux Jardins de plantes. Je leur ai mis une sacré branlée

Europognon

2 fois 3,90 €, qui dit mieux ? Je crains qu'il faille retourner au boulot jeudi !

Immunité

Pour informer mon potentiel lecteur, un lien vers l'extrait du journal où Michel Polac raconte son expérience avec un jeune garçon :

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-5037-polemique-daniela-lumbroso-soupconne-polac-de-pedophilie.html

Évidemment, ce genre de précision biographique sur un personnage connu a été occulté par les médias grand public, on n'imagine pas pourtant la même discrétion si cela avait concerné par exemple un prête catholique. On savait déjà qu'être « de gauche » excusait la trahison de son pays, le meurtre terroriste, les écoutes illégales des honnêtes citoyens, on peut désormais y ajouter la pédophilie.

Petit Palais

 

Tour au Petit Palais que je ne connaissais pas vraiment, en plus c'est gratuit.

Une peinture m'a beaucoup intriguée, le nom de sainte Dorothée est-il lisible dans son vêtement comme celui de sainte Catherine l'est ?

Ouverture

Ouverture de ce blog.

Experience cocktail

Soirée cocktail à l'expérimental cocktail club avec Nemo. Grâce à une organisation sans faille de ma part, nous évitons de finir dans les endroits interlopes habituels de Nemo, comme la back room de l’entrepôt.

Lectures

Oui, je viens dans son temple adorer l’Eternel.

Je viens, selon l’usage antique et solennel,

Célébrer avec vous la fameuse journée.

Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.

C'est par ces premiers vers d'Athalie que Jean-François Revel connut sa première émotion  poétique. Le récit de cet éveil esthétique se trouve dans ses mémoires, une de mes lectures de ces dernières semaines.

Vacances j'oublie tout

plus de temps, plus d'horaire, les vacances c'est super